Avant-dernière des symphonies dites « de jeunesse », la Symphonie n°5 de Schubert est une merveille d’élégance, de transparence et de grâce.
Elmer de Haas
Avant-dernière des symphonies dites
« de jeunesse », la Symphonie n°5 de
Schubert est une merveille d’élégance,
de transparence et de grâce. Quasi
contemporaine, la Symphonie n°8 est
l’oeuvre la plus concise et la plus légère
de Beethoven. Ici encore, le classicisme
brille de tous ses feux, déployant une
vitalité et une inventivité éblouissantes.
Lauréat du très prestigieux Concours
international de direction de
Cadaqués, le portugais Nuno Coelho
propose, avant ces deux chefsd’oeuvre
classiques, des ouvertures de
Mendelssohn, évocatrices d’envoûtantes
légendes fantastiques.